Transition climatique et énergétique

Selon une étude du Centre national italien de recherches (CNR), l'air que l'on respire à Rome contient, non seulement des polluants, mais aussi de la nicotine, de la caféine, du cannabis et de la cocaïne.

 

Les quantités de cocaïne prélevées dans l'air de la capital romaine ne constituent que 0,1 nanogramme par mètre cube d'air, et sont plus concentrées dans le quartier de l'université La Sapienza et au dessus des grands parcs de la ville.

 

Des études similaires ont permis de déceler des traces de cocaïnes dans les fleuves qui traversent des grandes villes, notamment Londres ou Milan, ou encore sur la majorité des billets de banque en circulation.